OPINIONS
TRANSFERT MÉDICAL À L'ÉTRANGER, UNE PRATIQUE QUI FREINE L'AMÉLIORATION DU SYSTÈME DE SANTÉ EN RDC
Le décès de l'artiste comédien Doudou Ngafura, de son nom Luzubu, m'amène à réfléchir sur la pratique très courante en RDC de transfert des malades à l'extérieur du pays pour des soins médicaux. Cette pratique, faut-t-il le dire, n'est réservée qu'aux responsables politiques et aux personnes malades ayant une certaine notoriété publique (grands sportifs et artistes notamment). Elle est en plus laissée à la seule discrétion du Chef de l'État.
Cette pratique qui existe depuis l'époque Mobutu ne semble poser de problème pour la population qui s'en accommode bien que le congolais moyen n'y a pas accès. Elle arrange bien les grandes personnalités du pays, qui elles, ont la possibilité, de bénéficier aux frais du Trésor, des soins de qualité à l'étranger.
La Banque Centrale pourra peut-être un jour donner le coût de cette pratique. Mais il est exclu de penser qu'il pourrait être supérieur au budget annuel alloué au secteur de la santé. D'après les information livrées par l'artiste comédien Elombe, un montant de 20.000 dollars avait été ordonnancé pour le transfert de Doudou Ngafura en Afrique du Sud. Quel est le nombre de personnes qui bénéficient chaque année de cette faveur ?
C'est à ce niveau que le problème de choix doit se poser : ne vaudrait-t-il mieux d'utiliser les fonds servant aux transferts médicaux pour développer dans le pays des infrastructures de soins médicaux de même qualité que celles de l'Afrique du Sud ?
Cela devrait non seulement d'élargir l'accès sur place de plus de Congolais à des soins de qualité, de mettre fin à un système discriminatoire, et à long terme de soulager le Trésor public.
Jean Moanda Vita
moandavita@yahoo.fr
Un peu de réalisme, Meme Justine Mpoyo Kasa-Vubu
Mme Justine Kasa-Vubu doit apprendre à jouer le jeu de la démocratie. Elle a eu la "chance" de tester sa crédibilité auprès du peuple congolais par rapport au nombre de suffrages exprimés en sa faveur. Echec et mât. Si elle aimait réellement son pays, le Congo, comme le fut son immortel et vénérable Père, elle se la bouclerait en préparant l'alternance de 2012. Elle a été ambassadrice, ministre résident, Ministre de la Fonction publique etc.. Nous avons cherché vainement dans tous les coins de son territoire d'origine une seule oeuvre sociale portant sa signature: rien du tout. Elle a du moins trouvé $50.000 (cinquante mille dollars américains), non remboursables, pour la course à la présidence de la République ! Lorsque l'on sait qu'avec $5.000 ( je dis bien cinq mille dollars, et ce par mon expérience) on peut construire un bâtiment en materiaux durables comptant 12 salles de classes plus deux bureaux, la candidate malheureuse à la présidence aurait mis quelque miliers d'élèves, qui sont exposés aux intempéries. Faut-il nécessairement être Chef de l'Etat pour le faire ? Non, Mme Justine, un peu de réalisme en commençant par harmoniser vos réalations avec les vôtres. Et ce au Congo, pas en Belgique.
D. Sassa
sadiol01@yahoo.fr
Comment parler de le double nationalité des élus sans réellement parler de leur nationalité ?
Pour vous dire sincèrement, de ma part je pense que nous devons tous reconnaître que des preuves tangibles sur les origines rwando-tanzaniennes de Joseph Kabila n'ont JAMAIS été présentées. En plus personnellement je n'accorde point de crédibilité à des diffamations sans fondement à l'égard du Chef de l'État Joseph Kabila: Que dire de la fameuse photo le présentant comme étant un ancien garde du corps de Paul Kagame lorsque l'on remarque sans trop d'efforts que le voyou qui a fait le montage n'a utilisé que la si simple méthode si pas fonction de traitement d'image connue sous l'expression "COPIER - COLLER" ? Alors, je me suis toujours posé la question de savoir pourquoi cet acharnement prémédité envers une personne surtout que des preuves n'existent même pas ?
Si Kabila n'est pas congolais, l'avenir nous le dira. Regardons de l'avant et pensons à nos frères et soeurs qui sont au pays vivant avec moins d'1 $ par jour parce que les mobutistes ont ruiné la nation toute entière. Ce ne sont d'ailleurs pas les KABILA qui ont détruit les routes, les hôpitaux, les écoles, les infrastructures .... ? Alors, je suis d'accord qu'une opposition "constructrice" puisse être pratiquée mais pas simplement pour amuser la galerie.
Georges MABENGO.
gmabengo@hotmail.com DEMOCRATIC REPUBLIC OF CONGO
21.02.2007
EDM on deportations to DR Congo
Vis, Rudi
That this House believes that further deportations to the Democratic
Republic of Congo should be suspended with immediate effect based on
evidence that failed asylum seekers risk being subjected to serious
mistreatment and imprisonment on return and that this amounts to a
grave violation of their Article 3 human rights as provided for in the
Geneva Convention; and that, in particular, the mass removal of
Democratic Republic of Congo asylum seekers on 26th February 2007 on a
specially chartered XL Airways flight should not be allowed to proceed. CONGO SUPPORT PROJECT
congonorthwest@yahoo.co.uk
Reporters sans frontières Communiqué de presse
28 février 2007 REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO
Un journaliste condamné à trois mois de prison ferme pour avoir dénoncé des faits de corruption Reporters sans frontières proteste contre la condamnation à trois mois de prison ferme et à une lourde amende de Popol Ntula Vita , correspondant de l'hebdomadaire privé La Cité africaine à Boma (Bas-Congo, Ouest), contraignant le journaliste à la clandestinité alors qu'il a dénoncé des faits de corruption. "L'article de La Cité africaine , appuyé par des chiffres et des documents, révélait une pratique de détournement courante dans l'administration congolaise, où il existe presque systématiquement une différence entre le prix facturé des services et le prix payé. L'administration judiciaire n'est pas exempte de telles pratiques, les ordres établis par certains magistrats étant fréquemment monnayés contre quelques dizaines de dollars. C'est pourquoi le nouveau gouvernement congolais ne peut pas à la fois clamer sa volonté de lutter contre la corruption et tolérer qu'un journaliste qui la dénonce soit condamné en vertu d'une législation aberrante", a déclaré l'organisation.
Le 26 février 2007, le tribunal de Boma a condamné Popol Ntula Vita à trois mois de prison ferme et 6450 dollars d'amende pour "diffamation" et "imputations dommageables" à l'encontre d'un responsable local du centre des impôts. Le procureur de la République avait requis 12 mois de prison. Le journaliste, absent à l'audience, est entré dans la clandestinité.
Dans un article publié le 6 janvier, Popol Ntula Vita avait révélé qu'un responsable local de l'antenne de la Direction générale des impôts (DGI) et trois de ses collaborateurs surfacturaient la délivrance de plaques minéralogiques et "empochaient" la différence.
La loi sur "l'imputation dommageable" ne stipule pas que la véracité des faits est une excuse absolue pour l'accusé et prévoit une condamnation si "l'honneur ou la considération" du plaignant ont été attaqués.
BRUXELLES :TROP DE GENS PARLENT
A LA PLACE DES CONGOLAIS
Cheik FITA
Le Congo est-il un Etat souverain ou pas ? Le Congo appartient-il aux Congolais ou pas ?
Si oui, comment expliquer cette inflation de personnalités, surtout belges qui se sont arrogés le droit de parler pour le Congo et pour les congolais, souvent, sans les congolais ?
De qui ont-ils eu mandat ? A qui rendront-ils compte ?
Coopération pour l'appui aux hôpitaux congolais par ci, construction d'un pont entre Kinhasa et Brazzaville par là. Déjà ce mardi 21 février 2007 à Liège il y a une autre rencontre : REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO : Quel avenir économique ?
Sans compter la couleuvre appelée « élections » dont on tente désepéramment de faire avaler les résultats ubuesques, à tous les 60.000.000 de congolais.
Le 27 février prochain, c'est la forêt congolaise dont on fera la coupe. Un compatriote a tenté de bonne foi de s'y inscrire.
Ne sachant à quel saint se vouer, notre compatriote a décidé d'inonder les boîtes e-mail de son message de dépit.
Ci-dessous un document : ce qu'il a écrit et ce qui lui a été répondu.
Cheik FITA
Bruxelles, le 21 février 2007
BRUXELLES: TROP DE GENS PARLENT A LA PLACE DU CONGO ET DES CONGOLAIS
Le Congo est-il un Etat souverain ou pas ? Le Congo appartient-il aux Congolais ou pas ? Si oui, comment expliquer cette inflation de personnalités, surtout belges qui se sont arrogés le droit de parler pour le Congo et pour les congolais, souvent, sans les congolais ? De qui ont-ils eu mandat ? A qui rendront-ils compte ? Coopération pour l'appui aux hôpitaux congolais par ci, construction d'un pont entre Kinhasa et Brazzaville par là. Déjà ce mardi 21 février 2007 à Liège il y a une autre rencontre : REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO : Quel avenir économique ? Sans compter la couleuvre appelée « élections » dont on tente désepéramment de faire avaler les résultats ubuesques, à tous les 60.000.000 de congolais.
Le 27 février prochain, c'est la forêt congolaise dont on fera la coupe. Un compatriote a tenté de bonne foi de s'y inscrire. Ne sachant à quel saint se vouer, notre compatriote a décidé d'inonder les boîtes e-mail de son message de dépit. Ci-dessous un document : ce qu'il a écrit et ce qui lui a été répondu. Cheik FITA Bruxelles, le 21 février 2007 DOCUMENT MESDAMES ET MESSIEURS BONJOUR ! SAVIEZ VOUS QU'IL Y A UNE CONFERENCE SUR LA GESTION DE LA FORET DE LA RDC EN BELGIQUE ET CECI DU 26 AU 27/02/2007 ? POURQUOI EN BELGIQUE ET PAS AU CONGO ? J'AI VOULU SAVOIR LE POURQUOI EN ASSISTANT A CETTE CONFERENCE, VOICI LA REPONSE DES ORGANISATEURS !
BONNE LECTURE. From: Timothée YELI MONKENYA [mailto:timyeliadssf@hotmail.com]
Sent: vendredi 16 février 2007 11:53
To: International Forest Conference DRC
Subject: DEMANDE DE MON INSCRIPTION A LA LA GESTION DE LA FORET DE LA RDC 26 ET 27 Mme Paola Andrea, Timothée YELI MONKENYA 136, rue PRINCE BAUDOUIN 083 BRUXELLES. GSM 0494-27.03.027 e-mail: timyeliadssf@yahoo.fr ou @hotmail.com FONCTIONS: CONSULTANT INFORMATIQUE-TELECOMMUNICATION SYSTEMES EXPERTS-INTELLIGENCE ARTIFICIELLE. Vous prie de m'inscrire à la conférence de la gestion de la forêt de la RDC QUE VOUS ORGANISEZ EN BELGIQUE. ORIGINAIRE DE LA RDC , MAIS DEVENU BELGE DEPUIS LONGTEMPS(1982). Je suis très sensible à tout ce qui touche la RDC. Merci de m'avoir compris.
Timothée YELI MONKENYA From: "International Forest Conference DRC" <confordrc@btcctb.org>
To: Timothée YELI MONKENYA <timyeliadssf@hotmail.com>
Subject: RE: DEMANDE DE MON INSCRIPTION A LA LA GESTION DE LA FORET DE LA RDC 26 ET 27 Date: Fri, 16 Feb 2007 15:33:16 +0100 Monsieur, Nous vous remercions de l'intérêt que vous portez à la « Conférence Internationale sur la gestion durable des forêts en RDC (ConForDRC )» qui se tiendra les 26 et 27 février 2007, au Palais d'Egmont, à Bruxelles. Nous regrettons de devoir vous informer que votre demande de participation n'a pas pu être retenue car la capacité maximale de la salle de conférence a été atteinte. Toutefois, vous figurez dans la liste d'attente et nous vous informerons si de nouvelles places se libèrent. Veuillez noter que toutes les présentations de la conférence seront mises sur le site web officiel de la conférence www.confordrc.org en mars. Meilleures salutations,
L'équipe d'organisation ConForDRC publié par Cheik FITA
DE NOTRE CORRESPONDANT DE BUKAVU ce samedi soir 24 février 2007
* Les cas répétés d' insécurité à Bagira , dans la ville de Bukavu, obligent les habitants de la zone à ériger des barricades pour bloquer l'accès à la commune. Selon les témoignages recueillis sur place, ceux que nous avons interrogés nous ont parlé de « climat de terreur sur toute l'étendue du territoire » et que l'insécurité est du au fait de la présence « des éléments armés venus de Muhungu » qui se donnent à leurs prouesses inciviques contre les populations. Un de ces gens tienne à nous répéter que « Bagira est une commune très pacifiques ». Entre temps des patrouille sont organisées par la population qui continuer à bloquer les principales rues avec des barricades.
* Nous apprenons aussi que à Kaniola , la FARDC et la Monuc ont reussi à libérer 3 filles qui étaient tombées otages des présumés combattants hutus rwandais, qui avaient emmenés les victime dans la foret de Mugaba. Les faits se sont passés dans la nuit de mercredi à jeudi dans la localité de Kaniola en territoire de Walungu. C'est, suite à un échange de tirs entre 8 e brigade et assaillants que ces derniers ont perdu un de leurs compagnons et ont pris la fuite en laissant les trois filles. Les FARDC et les casques bleus de la Monuc sont engagés à mener en ces derniers jours des opérations de sécurisation dans toute la zone de Kaniola, qui est encore peuplée par des anciens soldats hutu. FDLR
* Au Nord-Kivu aussi, et précisément dans le territoire de Rutshuru , il y a eu des combats entre les FARDC de la brigade « Bravo » et les FDLR rwandais et alliés Mai-Mai. Notre correspondant de Goma nous confirme : 2 morts, et centaines de villageois qui ont du quitter leurs maisons et leurs terres. Et il ajoute « Les témoins nous parlent aussi des pillages et de tracasseries, attribués aux soldats FARDC
* Climat d'insécurité aussi à Bunia où la cohabitation est difficile entre population et éléments FARDC, surtout à Kpandroma à 175 kilomètres au Nord de Bunia. C'est depuis un mois que ce climat de grande méfiance règne entre des éléments de la FARDC et les habitants de cette localité Nos informateurs nous racontent d'un climat de guerre et de violences, et que « les Fardc sont les principaux auteurs de pillages, incendies des cases, tortures et viols. ». Et il ajoute aussi que « ces militaires sont indisciplinés au point qu'ils considèrent la population comme une proie à laquelle il faut ravir tout ce qu'elle possède . »
* Depuis le 16 février Maitre Byabuze Idesbald se trouve dans les mains de la justice de Kigali. Cette arrestation suscite inquiétudes et désapprobations de la part de tout homme de bonne volonté, car, comme d'habitudes, la justice rwandaise n'a donné que des accusations très génériques vis-à-vis de Monsieur Byabuze, accusé de véhiculer un message génocidaire et d'atteinte à la sûreté de l'Etat rwandais. Monsieur Byabuze. Avocat, et enseignant de droit à l'université catholique de Bukavu était en visite à l'Université laïque adventiste de Kigali (UNILAK ). Monsieur Byabuze Idesbald est d'un état de santé assez précaire souffrant d'estomac, son régime est spécial mais aussi, il souffre de la malaria. C'est le Tribunal de base de Gikondo, à Kigali, capitale du Rwanda, qui a ordonné, vendredi 23 février 2007, la détention pour une durée de 30 jours, à la prison centrale de Kigali, de IDESBALD BYABUZE, professeur à l'UCB (Université catholique de Bukavu) et directeur du journal « Mashariki News », paraissant à Bukavu, chef-lieu de la province du Sud-Kivu, à l'Est de la RD Congo.
Texte distribué par:
Placide Bagalwa, BSc(Hons), MSc.
Président
AMIS-BK/UK
+44 7957 128857
plahab@hotmail.com
=========== NCADC News Service ===========
DR Congo is not safe - stop the 'Charter Flight'
Emergency protest - Monday 26 February 1.00 -3.00pm. Home Office 2 Marsham Street London SW1P 4DF (nearest tubes: St James Park and Westminster)
Despite various NGO's, including the UN peacekeeping mission, reporting that once again the human rights situation in DR Congo is deteriorating and the growing protests at the planned forced removal by 'Charter flight' of over 19 children and 27 adults to DR Congo, the Home Office seem set to go ahead with their mass deportation on Monday.
If the children remain in the UK their life expectancy would be 81 years. If they are deported back to DR Congo their life expectancy will be reduced to 42 years.
Join the demonstration called by: Congo Support Project
Supported by Fight Racism! Fight Imperialism! LSE FRFI society, NCADC , Unity Centre Glasgow, Glasgow Campaign to Welcome Refugees.
Background: 19 Children & 27 adult DR Congolese to be deported by 'Charter Flight' ttp://www.ncadc.org.uk/newszine79/charter2.html
Bishop speaks out against removal of Aseng Nzoabar and her six children on the "deportation charter flight" to DR-Congo "Aseng has come from a country that the Home Office itself recognises as dangerous but nevertheless is prepared to send people back to. I find it hard to believe that there will not be violence for Aseng and her family."
The Bishop of Ripon and Leeds, Rt Revd John Packer . http://news.bbc.co.uk/1/hi/england/west_yorkshire/6386459.stm
The family has a campaign, for details contact: ncadc-north-west@ncadc.org.uk
DR Congo: army and police continue to violate civilians' human rights, says UN mission The United Nations peacekeeping mission in the Democratic Republic of Congo (DRC) reported that the human rights situation in the country continues to deteriorate, as the army and police perpetrate acts of violence against civilians and the number of reported rapes surges.
A monthly assessment of the human rights situation in the DRC released on Wednesday by the UN Mission, known as MONUC, stated that there have been numerous cases in which Congolese soldiers and police have summarily executed and raped civilians, in some cases with apparent impunity.
UN News New York, Feb 21 2007 4:00PM http://www.monuc.org/news.aspx?newsID=13932
Inquiries/further information: Congo Support Project Okito Tongomo 079 6132 5167 tongomoo@hotmail.com Liz Atherton (after 6.00pm 079 3152 4654) liz.atherton@freeuk.com
DEBUT DE L'APARTHEID EN RDC
Le régime appelé Apartheid que les noires de l'Afrique du Sud on connu,
fut characterisé par plusieurs choses, entre autres: la discrimination
raciale, l'élimination physique de l'homme noire, le développement
séparé, l'expropriation des richesses et biens de l'homme noire ainsi
que la prise des terres et villages appartenant aux noires. Sous ce
régime l'homme blanc surtout d'origine Allemande appelé “Bourg” avait la
ferme décision d'exterminer l'homme noire. Par les efforts consentis
partout au monde entier ce régime avait pris fin en 1994 lors de
l'élection de Mr. Mandela comme président de la République Sud Africaine.
Mais les réalités aujourd'hui sont telles que les biens ainsi que terres
expropriés par les blancs depuis l'Apartheid non jamais étés restitués,
et malgré la paix en Afrique du Sud, l'homme noire Sud Africain souffre
de plus ce qu'un Congolais, Zambien ou même Tanzanien.
Le régime qui est bannis et aboli en Afrique du Sud est aujourd'hui
répliqué en RDC. Je vous laisse le temps de lire cet article publié le
mardi 13 Février 2007 sur le site :
http://www.radiookapi.net/diffusion.php?id=12725
Pascal Ntambue Madika Kapamba" < info@congotribune.com >
Mardi, 13 Février 2007: Les habitants de Mbelenge menacés de délocalisation.
Au Kasaï Occidental, des menaces de délocalisation planent sur le
village Mbelenge à une vingtaine de Kilomètres de Djokopunda dans le
territoire de Luebo. Selon les habitants de cette localité, l'entreprise
minière russe, KCC, projette une exploitation diamantifère et leur
demande de quitter ce lieu qu'ils occupent depuis des décennies.
L'inquiétude gagne de plus en plus les villageois car ils craignent de
perdre plusieurs avantages tant économiques que culturels.
Comment une société peut quitter la Russie pour venir délocaliser les
habitants du village Mbelenge? Ou est ce que ces habitants iront
résider? En Russie? Ou au Rwanda? Si cette société prenait ce village
aujourd'hui qui sera capable dans le future (après 20 ou 30 ans) de le
récupérer? Avec notre actuel régime qui signe les contrats avec
n'importe qui sans aucun contrôle ni suivi, nous congolais, risquerons
un jour de nous retrouver sans villes ni villages.
Debout Congolais, de tels actes ne peuvent jamais être tolérés.
Maitre Leon
RDC: Une dette de sang se règle toujours difficilement.
El Memeyi Murangwa
23/02/07
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